La rencontre insolite et puissante entre une jeune Normande et un Amérindien venu sur les traces de son grand-père, code talker pendant la Seconde Guerre mondiale.

80 ans après le Débarquement en Normandie, Catherine Boissel nous entraine dans une grande saga romanesque ayant pour toile de fond la Normandie de l’été 1944.

 

À trente ans passés, Léa a tout quitté pour ouvrir un café au cœur des marais du Cotentin, le vert paradis de son enfance. Et commencer une nouvelle vie.

Aux États-Unis, Chayton, dont le talent d’avocat sert la cause de ses frères de sang, découvre à la faveur d’un héritage le passé militaire de son aïeul. Joseph Kahwosah faisait partie des code talkers, ces GI amérindiens qui transmettaient à leur état-major des informations en langage codé lors de la Seconde Guerre mondiale.

 

Sur un sujet historique méconnu : les code talkers comanches qui débarquèrent à Utah Beach le 6 juin 1944, un beau roman qui évoque aussi le monde rural entre mutation et renaissance.



Catherine Boissel vit à Caen. Passionnée par la littérature orale et les contes, elle a publié en 2001 un essai, Le roman des contes aux éditions CEDIS, consacré à l’histoire et l’évolution des contes. A partir de 2009, elle se consacre à l’écriture de fictions. D’abord des romans policiers médiévaux, Le loup des ponts d’Ouve (2010) et Le prieuré des ténèbres (2013) publiés sous son véritable nom, Catherine Sevestre-Loquet, aux éditions Charles Corlet.

Depuis 2017, sous le pseudonyme de Catherine Boissel, une trilogie historique est parue aux Presses de la Cité : Les portes du bonheur (2017), La chanson de Julien (2019) et Ce que disent les hirondelles (2022), dont chaque volume peut se lire indépendamment. Une belle chronique familiale en Normandie incarnée par des personnages attachants, et aussi une éclairante page d'histoire, de la Grande Guerre au début des années 1960.