Après des études de philosophie à la Sorbonne, Olivier Rasimi se tourne vers la musique et devient guitariste dans le groupe pop Jours Étranges qui signe chez Barclay, puis galeriste d’Art spécialisé dans le dessin
ancien. Activité qu’il exerce encore aujourd’hui.
Il a publié un premier roman Le Silence de la chair (éditions Le
Passage, 2014), puis Cocteau sur le rivage et Bébé (Arléa, coll. La rencontre, 2020, 2021) et un livre d’art, La Vierge à l’Enfant (Citadelles Mazenod, 2020)
Pour en savoir plus... rendez-vous avec l'auteur à 15h30 sous la tente
Il sera interrogé sur Lever de rideau (Arléa)
dans le cadre d'une table ronde intitulée L'Art et la vie
Nous avons le plaisir de recevoir Olivier Rasimi pour son dernier livre Lever de rideau (Aléa)
1932, Argenteuil, une étoile du music-hall parisien vient de naître mais elle l’ignore. À Paris, dès l’adolescence,
elle jouera des pieds et des mains pour se faire un nom et devenir l’actrice enjouée qui fera le bonheur
des habitués du Casino Montparnasse ou de la Comédie Caumartin. Elle donnera la réplique à
Louis de Funès, Jean-Claude Brialy ou Jean Poiret. Olivier Rasimi, son fils, nous raconte ces années
d’après-guerre, les tourments, la solitude, le cabaret, les opérettes, la vie aventureuse, précaire et joyeuse
d’une troupe de danseurs.
Christiane Muller fut une femme libre et déterminée. Son mari, Eddy Rasimi, était le petit-fils de la fondatrice
du Bataclan. C’est tout un monde, secret, un monde de coulisses que nous dévoile Olivier Rasimi. Lorsque le
rideau retombe il se souvient de Donald O’Connor qui entonne dans le merveilleux Chantons sous la pluie :
Fais-les rire, fais-les rire, ne sais-tu pas que tout le monde veut rire ?